Monsieur Alain SALVAT 45 rue du GLEYSIA 64530 GER | GER le 30 Décembre 2007 |
A Madame Pauline JOLIVET N° 04/970 Affaire :SAS COFRADIM RESIDENCES / José et Alain SALVAT | Juge Contrôle des expertises 6 rue Pablo Néruda 92020 NANTERRE CEDEX bureau 0.23 |
Chambre : Juge de l’Exécution
Décision du 27 Octobre 2003 rectifié
par Jugement du 11 Mai 2004
Expert : Chambre des Huissiers des Hauts d Seine
Lettre R.A.R n° :
Madame le Juge,
Suite au courrier que mon frère Mr José SALVAT vous a adressé le 26 Décembre 2007, qui vous expose notre position dans ce dossier comme suite à la requête que vous a présenté Me BARONI.
Mais avant tout je tiens à vous faire part de notre total mécontentement sur les rapports inexistants et sur la manière dont Maître BARONI a mené l’expertise inachevé et de notre étonnement que Maître Véronique BECHERET Mandataire Liquidateur n’ait as été destinataire de votre courrier.
En effet Maître Véronique BECHERET n’a pas terminé sa mission, il n’y a pas eu reddition de ses comptes, la liquidation judiciaire n’est à ce jour pas clôturé.
Me Véronique BECHERET détenait une situation de compte dont on était pas informé lorsque la Cour d’Appel de renvoi de PARIS a rendu son Arrêt le 20 Mars 2002, le compte de liquidation nous a été adressé le 22 Octobre 2002.
Ce compte de liquidation fait apparaître les opérations effectuées par Me BECHERET concernant les sommes payé à COFRADIM et des frais de Liquidation.
Me BECHERET c’est payé ses frais de liquidation sur les sommes qui nous reviennent de droit et non sur la somme de 230.000 F qui lui a été payé pour couvrir les frais de liquidation, c’est contractuel, or le solde 4.079,58 € a été reverser à COFRADIM depuis le 10 Décembre 1993 alors que les comptes n’étaient pas clôturés
Maître Véronique BECHERET détient les états de comptes des frais de liquidation qu’elle a payé, la liquidation judiciaire n’étant pas clôturé, le Mandataire Liquidateur est partie intégrante de la procédure elle est mis en cause dans l’Arrêt du 20 Mars 2002 et l’Arrêt en rectification en date du 16 Juin 2006.
Nous avons fait de notre mieux pour informer Me BARONI sur la situation réelle de cette affaire, en lui adressant nos observations écrites et des pièces dans plusieurs courriers sans obtenir la moindre réponse de qui que ce soit, nous ne sommes en rien responsable de la longueur que dure cette expertise.
J’ai personnellement contacté par téléphone l’étude de Me BARONI à plusieurs reprises, mes appels téléphoniques ont été ignorés, Me BARONI ne nous a jamais demandé aucune pièces pour sa mission.
Nous avons pu assister à un seul rendez-vous qui s’est soldé par un échec total, ce rendez-vous a été monopolisé par Mr Pierre Marie LEBLOND dirigeant de la COFRADIM qui n’a cessé de crier «extra petite, extra petita ».
Je vous joint à ce courrier les observations écrites et les pièces que j’adresse à Maître BARONI, j’en adresse copie à Maître COLLIER avocat de la Société COFRADIM.
Dans l’attente je vous remercie vivement de l’attention que vous pourrez accorder à ce courrier et vous prie de croire, Madame le Juge des Expertises, en l’assurance de ma considération distinguée et respectueuse.
Alain SALVAT
P.J.
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