Cette pièce n°1 a été joint au courrier du 22 Mai 2008 adressé à : Sans en avoir avisé les Consorts SALVAT, à savoir, Madame Germaine SALVAT et Monsieur José SALVAT, exploitant le fonds de commerce dans les locaux donnés à bail et résidant dans les dépendances de ces locaux, la société COFRADIM DEVELOPPEMENT, s’est fait consentir, le 15 septembre 1987 par les Consorts GUILLAUME, une promesse de vente. Selon les dispositions de l'article 1589 du Code Civil cette promesse de vente vaut vente. C’est dans ces conditions que pour obtenir la résiliation du bail des locaux à usage de commerce et d’habitation occupés par les Consorts SALVAT, les nouveaux propriétaires, à savoir la Société COFRADIM DEVELOPPEMENT, ont mis tout en œuvre, notamment en engageant une action visant la clause résolutoire du bail, en vue, essentiellement, de passer outre le versement de l’indemnité d’éviction. Par assignation en date du 25 Novembre 1987, il a été demandé à Monsieur le Président du Tribunal d’Instance de Boulogne-Billancourt, statuant en référé, de constater l’acquisition de la clause résolutoire du bail et, subsidiairement, de prononcer la résiliation de l’engagement de location sur le fondement de l’article 1184 du Code Civil. Madame KIPPER locataire occupant le logement situé au second étage de l’immeuble a signée une convention de résiliation de son bail le 17 Décembre 1987. (pièce 46 du rapport ; numérotées 4) |
vendredi 21 janvier 2011
46) Photographie 1 et 2 des bâtiments convoités par la Société COFRADIM
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